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Cet accord d’échanges multilatéraux hérité du GATT prétend développer la consommation de masse, en encourageant :

  

  • à produire au moindre coût, grâce à une spécialisation économique des territoires (produire là où c’est le moins cher),

  

  • et à déréglementer les échanges internationaux de produits, de services et de capitaux, dont les prix résultent du seul mécanisme de l’offre et de la demande sur les marchés mondialisés.


Le principe fondamental de cet accord repose clairement sur la doctrine économique néo-classique dite néolibérale (voir ci-contre), qui encourage et accélère la dépossession des États de leur fonction régulatrice.


En effaçant les frontières économiques, le libre échange et la libre concurrence ont extrêmement affaibli, voire rendu inopérantes les politiques socioéconomiques de type keynésien qui avaient permis, jusque dans les années 70, d’équilibrer les investissements, la monnaie, la consommation, la production et l’emploi, à l’échelle d’un pays ou d’une zone géographique délimitée, soumise à une réglementation commune.


L'autocuiseur ayant été transformé en passoire par la volonté des opérateurs multinationaux privés, grands bénéficiaires de la perte de pouvoir et de la déperdition d'énergie des États (évasion fiscale et baisse des recettes due au déficit commercial), c'est en pure perte que ces derniers s'évertuent depuis lors à régler la flamme de la cuisson...

L'École de Chicago a été fondée avant la Seconde Guerre Mondiale par l'économiste américain Milton Friedman, Prix Nobel d'Économie 1976, à l'origine du courant néolibéral monétariste.


Dans le cadre d'un partenariat avec l'Université pontificale catholique du Chili, Milton Friedman forma un groupe d'étudiants chiliens, les Chicago Boys, qui apportèrent leur soutien à la dictature d'Augusto Pinochet parvenu au pouvoir à la suite du coup d'état militaire de 1973. Ils mirent en place la politique économique néolibérale qui aboutit en 10 ans à la ruine du pays : 18% de recul du P.I.B, 30% de chômage et 27% d'inflation. Friedman prodigua également ses conseils à l'Argentine et à d'autres dictatures d'Amérique du Sud .


Dans les années 1980-1990, Milton Friedman collabora activement avec les dictatures communistes de l’Est et celle de la Chine, auxquelles il dispensa intensivement ses enseignements.


Dans les années 80, sa doctrine inspira directement la politique économique et sociale de Ronald Reagan aux États-Unis, de Brian Mulroney au Canada et de Margaret Thatcher au Royaume-Uni, pour gagner progressivement l'Europe (politique monétariste de l'Union Européenne et de sa Banque Centrale, la BCE, beaucoup plus rigide que ne l'est aujourd'hui celle de la FED, la Banque Centrale des États-Unis).


La mondialisation commerciale et la globalisation financière, tout comme leur crise systémique actuelle, résultent en fait de l'application aveugle des thèses néolibérales de Friedman par ses adeptes sur tous les continents...

  • neutralisation de la fonction de régulation socioéconomique des États,

Elles sont le reflet de l'idéologie néolibérale, devenue "pensée unique" dominante depuis la disparition du bloc soviétique en 1991.

L’idéologie néolibérale a également été largement mise en œuvre par la Banque Mondiale et la plupart des institutions financières internationales. Toute se référant au « Consensus de Washington », directement inspiré de l’École de Chicago.

Le Fonds Monétaire International a jusqu'à présent imposé mécaniquement des réformes structurelles de type néo-libéral aux pays auxquels il venait en aide, comme condition pour l’octroi de prêts destinés à rembourser leurs dettes.

Ce n'est que très récemment, avec la crise actuelle, que les certitudes de cette institution semblent avoir été quelque peu ébranlées...

Force est de constater que les règles de libre-échange inconditionnel (dérégulation des marchés) imposées par l’OMC et adoptées en l’état par l’UE, vont à l’encontre des objectifs de développement durable les plus élémentaires.

En revanche, l’Union Européenne impose aux entreprises de ses pays membres des normes (en particulier, environnementales) se traduisant généralement par des coûts de production supérieurs à ceux de pays tiers (hors UE).

... ni l’OMC, ni l’Union Européenne ne prévoyant de règles concernant les conditions sociales et environnementales de production, comme condition des échanges commerciaux internationaux.

  • toute hausse de prix, à de l'inflation. Au risque de graves contresens destructeurs de valeur...

  • toute régulation territoriale des échanges internationaux, au protectionnisme,

  • réduction des dépenses publiques (services publics et prestations sociales) imposée aux États par les marchés ; régression sociale.

  • réduction des recettes fiscales et alourdissant le coût du financement privé de la dette publique, rendant celle-ci ingérable par les États,

  • interdiction faite aux Banques Centrales de prêter aux États pour combler leurs déficits : ils doivent donc emprunter aux opérateurs financiers privés ; lesquels, en cas de faillite, se font renflouer par les Banques Centrales, en vertu du fameux too big too fail (trop gros pour faire défaut)...

  • libéralisation des taux d’intérêt,
  • privatisation du secteur public,
  • mise en concurrence des territoires et de leurs populations, et plus particulièrement des travailleurs, sur toute la planète,
  • division internationale du travail,
  • libéralisation des investissements directs de l’étranger,
  • La théorie du ruissellement : l'enrichissement d'une élite profite finalement à tous.
  • L'avidité est le moteur de la création de richesse.
  • Trop d'impôt tue l'impôt.
  • La libre-entreprise ne doit pas subir d'entraves.
  • L'État n'est pas la solution, mais le problème.
  • déréglementation des marchés,

* Prenant le territoire exportateur comme prix de référence - et donc normes qualitatives - acceptables, au lieu du territoire importateur !

   (article 1.2 de l'Accord Général fondateur de l'OMC)

  

Les objectifs et modalités

du capitalisme néolibéral

  • accroissement des profits des marchés financiers, toujours plus libres de toute intervention publique,

Les dogmes du néolibéralisme

  • Le marché a toujours raison.

Le principe de concurrence libre et non faussée imposé par l’OMC a été adopté par l’Union Européenne, obsédée par le protectionnisme et par le risque inflationniste. Or la doctrine néolibérale assimile abusivement :

L’adoption des thèses économiques néo-libérales de l'économiste américain Milton Friedman (monétarisme,  privatisation du secteur public, déréglementation économique, défiscalisation des revenus et des bénéfices), ne se limita pas au continent américain. Elles furent largement mises en pratique par le Grande Bretagne de Margaret Thatcher, par l’Islande ou par l’Estonie, économies considérées comme les plus libérales d’Europe.

Le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale

L'Organisation Mondiale du Commerce

Prenant en 1994 la suite du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade) qui avait été créé en 1947, l’OMC en perpétue les principes, qui se résument à une libre concurrence par les prix, au bénéfice du moins disant en matière de Qualité Sociale et Environnementale, c'est-à-dire une inversion de la définition du dumping *.

Les règles de la mondialisation économique que l'OMC et le FMI nous imposent depuis plus de 30 ans, reprises et appliquées par l'Union Européenne, supplantent peu à peu la législation et le rôle de régulation socioéconomique des États.

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De Milton friedman, à la mondialisation imposée à marche forcée
Le néolibéralisme s'oppose à la régulation économique étatique.
Voir la page '' Impacts de l'idéologie néolibérale ''
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