Il est tout à fait significatif de voir le principe de communication responsable traverser tous les niveaux de la RSE : gouvernance, mise en œuvre, et résultats S&E *
La norme ISO 26000 fait obligation à l’organisation de rendre des comptes ("redevabilité" Article 4) à ses parties prenantes directes et indirectes, sur sa gouvernance RSE, sur ses progrès et sur ses résultats avérés, en termes de QSE. La durabilité des supports de communication est louable, mais c'est bien sûr la pertinence du contenu qui prime. Renoncer à tous les washing (green ou pas) et autres dérives publicitaires, s'impose.
La communication interne (descendante, ascendante et transversale) doit tenir compte de l’organisation fonctionnelle et opérationnelle de la structure. Cette question étant évidemment beaucoup plus pertinente dans une grande structure que dans une TPE… Quant à la communication externe, elle s'adresse en priorité aux parties prenantes et parties concernées par la RSE de l'organisation.
La communication externe suppose d’avoir d’abord identifié correctement les parties prenantes de l’organisation, ainsi que les sujets et critères RSE pertinents.
Cette démarche peut donc justifier une concertation préalable entre l’organisation et ses parties prenantes.